L’écrin de l’artisanat :
c’est Arole Soubeiran, ébéniste depuis 1995 situé à Vergèze

Le mot de Jean-Luc Soubeiran

Permettez-moi de vous présenter mon entreprise de menuiserie-ébénisterie AROLE :

Soucieuse d'un devoir de sauvegarde de notre savoir-faire et de notre patrimoine, mon entreprise se consacre, depuis 1995, à la réalisation de pièces uniques et sur mesure. Nous répondons à des attentes particulières, adaptées à des besoins et contextes tous différents.

D'une reproduction de menuiserie du XVe siècle à la création d'un aménagement d'ensemble, sans oublier la restauration des meubles et autres ouvrages, mon entreprise peut répondre à tous vos projets en bois.

Diplômé d’un brevet de technicien en aménagement d’ensemble, je poursuis ma formation au travers d’un tour de France qui me conduit à un brevet professionnel et un brevet de maîtrise en menuiserie. Je mets à profit cette formation pour, à mon tour, dispenser une formation au BP à de jeunes professionnels.

Je rejoins ma région natale pour créer mon entreprise avec mon père, d’où j’obtiens le titre de maître artisan. Celui-ci partit à la retraite, je me suis entouré d’une équipe compétente et passionnée. Mes deux ateliers, d’une surface de 200m² chacun, restent des structures où l'artisanat est bien présent !

Les hommes ont commencé à travailler le bois dès la période de l'Antiquité. Des exemples de menuiseries sont présents en Égypte, en Chine, sous l’Empire romain…

Historiquement, en France, le travail du bois était celui du charpentier. En ce temps-là, il existait différentes spécialités au sein même du métier de charpentier. Celles-ci étaient classées selon le type de projet réalisé. Pour la construction d’une maison, les charpentiers-huissiers s’occupaient des fenêtres, les lambrisseurs s’occupaient des murs et du plafond. Pour le mobilier, les huchiers fabriquaient des meubles.

En 1382, un arrêté royal ordonne qu'on distingue à l'avenir les menuisiers des charpentiers. Jusque-là, les menuisiers (du mot minitarus qui signifie : ouvrier travaillant à de menus ouvrages) étaient confondus sous le terme général de Charpentiers avec le qualificatif de "Charpentier de la petite cognée".

En 1467, en France, les menuisiers obtiennent des statuts qui les séparent des tapissiers et on leur demande de marquer leurs ouvrages grâce à des estampilles. C’est en 1580 que le statut de menuisier est officiellement reconnu et confirmé par Henri III. On parle de menuiseries pour désigner les ouvrages dont la conception est en bois massif assemblés selon les techniques traditionnelles (tenon/mortaise/chevillé ou collé, à queue-d’aronde, à enfourchement, à mi-bois, à rainure et languette, etc.). Les vis, clous, colles et autres éléments de fixation mécanique ou chimique peuvent être utilisés mais ne se suffisent pas à eux-mêmes : un ouvrage dont les pièces de bois, sans aucune forme d'usinage, ne tiendraient entre elles que par leur emploi n'est pas une menuiserie.

Des menuisiers-ébénistes
près de chez vous & à l’écoute

Vous avez chiné un meuble ancien dans une brocante à Montpellier ? Vous avez hérité d’une belle armoire de famille à Arles ? Vous rêvez d’une porte d’entrée sur mesure à Avignon ? Le projet sur lequel les menuisiers travaillent avec vous est spécifique. Ils échangent beaucoup (par e-mail, à l’atelier, à domicile…) pour comprendre le projet et faire une proposition. Des projets de mobilier des plus prestigieux aux plus modestes, la menuiserie-ébénisterie sait s’accorder à toute la clientèle et à tous les budgets, que vous soyez à Aigues-mortes, à Saint-Rémy-de-Provence, à Anduze, à Uzès ou bien aux Baux-de-Provence.

Les établissements avec lesquels nous formons les apprentis